Annuaire des savoir-faire vivriers, low-tech, régénératifs, créatifs et solidaires, en Périgord Vert-Limousin et alentours. Les initiatives biodiverses qui font écosystème
La pompe verte
C’est quoi la pompe verte ? En savoir plus

C’est quoi la pompe verte ? En savoir plus

C’est quoi la pompe verte ?

La pompe verte est un outil de recensement, de mise en relation et d’information. Elle s’intéresse spécifiquement aux initiatives de basses-technologies (low-tech), vivrières, régénératives, créatives et solidaires, situées dans le Périgord Vert-Limousin (PNR) et alentours.

Pourquoi une pompe et pas une fusée ? La pompe fournit de l’eau, bien commun indispensable à la vie. La pompe est basse-technologie ; solide, elle est réparable à l’infini. Autonome, elle ne requiert pas d’énergie ou réseau externe, complexe et fragile. Disponible dans l’espace public, elle s’offre généreusement à tous sans exception. La pompe interroge le sens de la vie ; pourquoi toujours pomper ? La pompe interroge l’existence de limites ; jusqu’où pomper ?

La pompe verte fait prendre conscience et donne à voir que les initiatives diverses (biodiverses), font système (écosystème).

Ça vient d’où les shadoks ?

« Les shadoks » sont une série télévisée des années 60/70 (un épisode ici) L’activité principale des personnages consiste à construire des machines absurdes. Et à pomper.

C’est qui les Shadoks du monde d’après ?

Les Shadoks recensés dans cet annuaire sont des acteurs installés dans le Périgord Vert-Limousin et alentour, individuels ou collectifs, amateurs ou professionnels.

Ils se reconnaissent dans la déclaration d’intention du Gco (le Gco est un collectif des transitions citoyennes du Périgord Vert-Limousin, qui par ailleurs héberge gentiment le site de la pompe verte) et s’intéressent aux notions de transitions, de décroissance, de soutenabilité, de convivialité technologique, d’autonomie… Ils partagent une certaine intuition de l’époque actuelle (Cf page suivante : Perspectives, inspirations, questionnements et déterminations)

L’expression « monde d’après » a été très utilisée lors des confinements de la pandémie de covid-19 ; elle évoquait l’idée que le monde basculait, que rien ne serait plus comme avant, qu’on allait dorénavant bâtir un monde plus raisonnable. Et puis le monde a repris sa course folle et destructrice… Mais qui sait ? L’Histoire retiendra peut-être quand même cette pandémie comme un point de bascule.